Carte du site au grand potentiel qui ne demande qu'à être exploité.
Le projet avait déjà été soumis à une consultation publique par l’OCPM en 2006, mais le projet a subi des modifications depuis.
Le nouvelle version du projet compte moins de cases de stationnements que celui prévu initialement. De plus, celles-ci seront en souterrain plutôt qu'aux 3 premiers étages, où se trouveront plutôt des logements.
Le projet prévoit près de 300 unités résidentielles de plus par rapport au projet de 2006. Une partie des logements supplémentaires se trouveront dans un ajout d’un étage résidentiel, au dernier niveau des trois nouvelles ailes sur la rue Saint-Patrick. Alors qu'on prévoyait des bureaux et de petits commerces au rez-de-chaussée, on semble maintenant privilégier l'implantation d'un nombre limité de grands commerces.
Bref, ce sont des modifications qu'on ne peut qu'applaudir; quoiqu'il ne faille pas sous-estimer la faculté d'indignation des nimbys....
Quelques avant/après (j'aime toujours!) trouvés dans la documentation présentée par le promoteur:
Par ailleurs, permettez-moi un commentaire: pourquoi, en ces temps où l'on parle d'écoquartiers, d'apaisement de la circulation et autres mesures "vertes", demande t'on au promoteur de déposer une étude d'impact sur la circulation qui ne compte aucune recommandation sur les besoins en transport en commun et en transports actifs? Pire, dans le cadre de l'étude, on y fait l'hypothèse "qu’aucun résidant et client n’utilisera le transport en commun" (p.6.), alors que la part modale actuelle des TEC et transports actifs chez les travailleurs de l'édifice est de 67%. Aberrant.
Pourtant, les gestionnaires du projet semblent sensibilisés à la question, puisqu'ils offrent un service de navette reliant le bâtiment au métro Lionel-Groulx et diverses autres mesures dans le cadre du programme
Bonjour,
RépondreSupprimerPetite rectification: il s'agit du programme Allégo (pas AllégRo).
Merci, j'ai fait la correction.
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