Regard sur l'actualité urbanistique et architecturale montréalaise. À l'occasion, le regard s'étendra à ce qui se fait ailleurs au Québec et dans le monde. En prime: un éditorial et une montée de lait de temps à autre.
Geste un peu étonnant de la part d'un arrondissement mené par Projet Montréal: le Plateau n'entend pas déneiger ses pistes cyclables cet hiver, malgré le fait qu'elles fassent partie du "réseau blanc", par mesure d'économie.
La direction du Plateau Mont-royal est en totale contradiction avec ses propres principes dits écologiques, en refusant de déneiger sa portion des pistes cyclables qui traversent son territoire. Ils font du chantage dignes de capitalistes véreux en prenant en otage les cyclistes pour obtenir plus d'argent de la ville centre.
Ces "ayatollah" sont d'une incohérence lamentable et offre un parfait exemple du désastre administratif, pire encore que l'actuelle administration montréalaise, qui attendrait la ville s'ils prenaient le pouvoir.
Le Plateau n'est pas dirigé par des écologiste, il est dirigé par une administration tout simplement pragmatique.
Peut-être que si on écoutant le maire du plateau au lieu de monter sur ses grands chevaux à chaque fois en clamant partout que l'administration Ferrandez fait du fascisme écologique, on aurait compris que les mesures prise par cette administration sont principalement motivées par un désir de sortir l'arrondissement du rouge.
Oui, Ferrandez n'hésite pas à aller chercher des sous dans les poches des gens qui consuisent. Mais pas par simple conviction anti-auto, mais plutôt parce que c'est, à son avis, la mesure la plus équitable pour l'arrondissement.
Ce refus de déneiger les pistes cyclables est un autre bel exemple de pragmatisme de sa part. Au lieu de dépenser 15 000$ par tête de cycliste hivernal, on déneige les trottoirs et les routes pour les 100 000 habitants, routes et trottoirs que les vélos pourront emprunter.
La direction du Plateau Mont-royal est en totale contradiction avec ses propres principes dits écologiques, en refusant de déneiger sa portion des pistes cyclables qui traversent son territoire. Ils font du chantage dignes de capitalistes véreux en prenant en otage les cyclistes pour obtenir plus d'argent de la ville centre.
RépondreSupprimerCes "ayatollah" sont d'une incohérence lamentable et offre un parfait exemple du désastre administratif, pire encore que l'actuelle administration montréalaise, qui attendrait la ville s'ils prenaient le pouvoir.
Le Plateau n'est pas dirigé par des écologiste, il est dirigé par une administration tout simplement pragmatique.
RépondreSupprimerPeut-être que si on écoutant le maire du plateau au lieu de monter sur ses grands chevaux à chaque fois en clamant partout que l'administration Ferrandez fait du fascisme écologique, on aurait compris que les mesures prise par cette administration sont principalement motivées par un désir de sortir l'arrondissement du rouge.
Oui, Ferrandez n'hésite pas à aller chercher des sous dans les poches des gens qui consuisent. Mais pas par simple conviction anti-auto, mais plutôt parce que c'est, à son avis, la mesure la plus équitable pour l'arrondissement.
Ce refus de déneiger les pistes cyclables est un autre bel exemple de pragmatisme de sa part. Au lieu de dépenser 15 000$ par tête de cycliste hivernal, on déneige les trottoirs et les routes pour les 100 000 habitants, routes et trottoirs que les vélos pourront emprunter.