Regard sur l'actualité urbanistique et architecturale montréalaise. À l'occasion, le regard s'étendra à ce qui se fait ailleurs au Québec et dans le monde. En prime: un éditorial et une montée de lait de temps à autre.
L'article parle de fouttre les itinérants dehors. Ce n'est pas de la prévention ça, c'est de l'exclusion !
Mon sentiment de sécurité ne s'en voit pas amoindrit parce que des itinirants sont assis dans le métro ou marchent autour des stations. En plus les itinérants ne sont tellement pas agressifs, je peux vous dire que JAMAIS je n'ai vu un itinérant commencer une bagarre, et pourtant, j'en ai vu des gens se battre dans le métro.
Ça me dégouttes de lire que le problème est plus grave avec l'arrivée de l'hiver et que donc, on crée une équipe pour le combattre. Évidemment que le problème va empirer l'hiver, il fait FRÈTTE, ils ne vont pas dormir sur des bancs de parc, ils vont mourir d'hypo-thermie. C'est bien évident que les itinérants cherchent à s'abritter l'hiver.
Et plutôt que de les aider à trouver un endroit où se loger, on embauche des gens pour les fouttre dehors des lieux PUBLICS.
Pour être bien franc, la présence des sans-abris, souvent affalés de tout leur long sur le peu de bancs disponibles sur les quais du métro, m'agresse, particulièrement quand je fais le trajet vers la garderie de mes 2 enfants.
Il y a des ressources plus appropriées que les stations de métro pour servir de refuge.
Prévention ?
RépondreSupprimerL'article parle de fouttre les itinérants dehors. Ce n'est pas de la prévention ça, c'est de l'exclusion !
Mon sentiment de sécurité ne s'en voit pas amoindrit parce que des itinirants sont assis dans le métro ou marchent autour des stations. En plus les itinérants ne sont tellement pas agressifs, je peux vous dire que JAMAIS je n'ai vu un itinérant commencer une bagarre, et pourtant, j'en ai vu des gens se battre dans le métro.
Ça me dégouttes de lire que le problème est plus grave avec l'arrivée de l'hiver et que donc, on crée une équipe pour le combattre. Évidemment que le problème va empirer l'hiver, il fait FRÈTTE, ils ne vont pas dormir sur des bancs de parc, ils vont mourir d'hypo-thermie. C'est bien évident que les itinérants cherchent à s'abritter l'hiver.
Et plutôt que de les aider à trouver un endroit où se loger, on embauche des gens pour les fouttre dehors des lieux PUBLICS.
Pour être bien franc, la présence des sans-abris, souvent affalés de tout leur long sur le peu de bancs disponibles sur les quais du métro, m'agresse, particulièrement quand je fais le trajet vers la garderie de mes 2 enfants.
RépondreSupprimerIl y a des ressources plus appropriées que les stations de métro pour servir de refuge.