lundi 10 janvier 2011

Un marathon qui ne sait plus dans quelle direction courir

Yves Boisvert se sert de l'exemple de l'organisation du marathon de Montréal pour illustrer comment Montréal est devenue une ville "surgouvernée".

1 commentaire:

  1. Pierre Carpentier10 janvier 2011 à 12:27

    Cet article est symptomatique de l'apathie du gouvernement provincial qui seul a le pouvoir d'amender la charte de Montréal et régler le problème une fois pour toute. Comme le parti libéral est celui qui a défusionné les villes, il ne remettra pas en doute cette décision aberrante, de peur de s'aliéner une partie de son électorat de l'ouest de Montréal.

    Il faudra donc attendre patiemment, avec toutes les conséquences négatives, un changement de gouvernement au provincial avant d'espérer voir une amélioration de la gouvernance de la ville. Et c'est bien malheureux parce que c'est une entrave majeure autant pour le développement économique de la ville que pour des décisions aussi élémentaires que l'organisation d'un marathon, comme l'a si bien démontré Yves Boisvert.

    Le seul point positif dans tout cela, pas besoin de faire la démonstration de l'inefficacité de ce type de formule, on aura eu assez de temps pour le déplorer et surtout le subir.

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