Une proportion plus élevée qu'avant de nouveaux immigrants choisit la banlieue plutôt que de s'établir à Montréal, et la campagne est peuplée d'ex-montréalais.
Pourtant, comme le souligne de façon éloquente un lecteur de La Presse, les propriétaires montréalais voient leur cadre de vie s'améliorer, la valeur de leur propriété augmenter et la ville ne compte pratiquement aucun logement inoccupé. On est loin de l'exode auquel voudraient nous faire croire certains alarmistes...
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