lundi 3 janvier 2011
Péage "intelligent": la solution pour Montréal?
Le péage "intelligent" est-il la solution pour Montréal, au risque d'inciter les gens à ne plus fréquenter la ville?
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Ce qui serait intelligent serait de s'assurer que ces éventuels péages ne soient effectifs que durant les heures de travail normales et gratuit en d'autres circonstances. Sinon c'est tout le côté récréatif de la ville qui en souffrira et son économie par surcroit.
RépondreSupprimerLa ville-centre a un mandat qu'aucune autre ville de la banlieue ne peut remplir adéquatement. Elle est la seule qui a la masse critique et la densité suffisante pour justifier la concentration des équipements touristiques, artistiques, commerciaux, de loisirs et sportifs dans toute l'agglomération et toutes entraves à la fluidité et la gratuité des déplacements nuiraient à cette importante vocation.
Montréal n'est pas Londres ni Paris avec leurs dizaine de million et plus d'habitants. Leurs solutions adaptées à leur réalité ne correspondent donc pas nécessairement à la nôtre. La prudence et la vigilance s'impose alors.
Personnellement je favorise en premier lieu des solutions beaucoup moins drastiques et plus diversifiées. Les péages devraient être à mon avis, le dernier recours, et s'ils s'avéraient incontournables, il faudrait le faire de manière limitée, comme mentionné au début de mon texte.
Implementing both fare hikes higher than inflation and congestion charges might reduce overall mobility. Tolls should always be coupled with an improvement in public transportation right away - not 20 years later. In that case it might reduce overall automobile use, without reducing mobility.
RépondreSupprimerJe ne comprends pas que la ville ne s'efforce pas d'améliorer l'offre de transport collectif avant toute chose. Je sais bien que le financement est un problème mais que ce soit dans 10 ans, dans 20 ans ou dans 30 ans il faut que l'offre soit largement améliorer. Que ce soit le prolongement des lignes de métro existantes, construction de nouvelle ligne, voies réservées au autobus, train de banlieue etc...
RépondreSupprimerUne fois que cela sera fait alors la ville pourra aller chercher ses sources de financements avec péage, hausse de frais d'immatriculation etc...
Au moins les usagers auront alors un choix.
De nos jours, l'argent pour ces grandes immobilisations viennent en grande partie de Québec, mais disons que les "bâtisseurs" là-bas préfèrent les grands projets autoroutiers. Il y a eu un petit rattrapage sous Landry mais on doit attendre encore des années.
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