Le vérificateur général de Montréal, Jacques Bergeron, s'adresse à la Cour supérieure pour tenter de faire interdire la publication de courriels prélevés par la Ville dans son ordinateur.
On se rappellera le scandale d'espionnage où la Ville s'est permis d'espionner les courriels de son vérificateur et du président du Conseil, sans mandats ni aucune permission des autorités policières, afin de discréditer celui qui avait fait un superbe travail avec son rapport sur les compteurs d'eau.
Bizarrement, certains chroniqueurs se demandent si le VG peut être maintenu à son poste compte tenu de son différent en cour conter son employeur. Devrait-on leur rappeler que c'est justement ce qu'espère la Ville depuis le début, que le Vérificateur parte. Ma question, devrait-on débarrasser Tremblay de la menace d'un Vérificateur qui fait trop bien son travail?
tremblay est déjà une erreur..
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